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Les Mages noirs




Il y a très longtemps il existait un art arcanique occulte connu sous le nom de magie noire, une magie puissante aux forces destructrices, née d’une mage au pouvoir inégalée. Par peur ou par respect pour leur pouvoir, on appelait ceux qui manipulaient cette force les Mages Noirs. Mais une telle puissance corrompt l’esprit des mortels et, sans le savoir, ces magiciens marchaient sur le chemin de la destruction.[1]

Les mages se servent normalement de leur propre éther pour créer leur magie, ce qui, en d'autres termes, signifie qu'ils sont limités par lui. Mais certains mages sont parvenus à dépasser ces limitations en inventant une technique permettant d'utiliser l'éther présent autour de soi. Il s'agit de la magie noire. Seuls ceux qui parviennent à maîtriser sa force destructrice peuvent prétendre au titre de mage noir. Malheureusement, après la Guerre de la magie et le sixième fléau, elle fut considérée comme trop dangereuse et l'on interdit son utilisation. Le temps passant, elle a fini par être oubliée.[2]



Sommaire


Histoire

Sur les terres de Yayafem, à l'apogée de la cinquième ère astrale, la magicienne de génie Shatotto incanta le premier sort de l’art qu’on connais sous le nom de magie noire. Toute sa vie, l’obsession de la mage Mhachoise pour les pouvoirs destructeurs donna naissance à des sortilèges dévastateurs et à l’armement arcanique.[1]

Il y a environ deux millénaires et trois siècles, à l'époque où Mhach n'était qu'une cité parmi d'autres, et non la puissance militaire que l'on connaît. Des divinateurs Mhachois avaient alors prédit qu'une comète renfermant une puissance magique incommensurable s'abattrait sur leurs terres. Shatotto a alors mis à profit ses connaissances en magie afin de mettre au point un pouvoir destructeur assez grand pour interrompre la course de la comète avant qu'il ne soit trop tard: la magie noire.[3]

Cette nouvelle école de magie trouva de nombreux disciples et des cohortes de la mages noirs formèrent le corps offensif des forces de Mhach pendant la guerre de la magie.

Mais l’incantation de tant de sortilèges draina la planète de son éther, et tous les camps du conflit furent perdants lorsque l’équilibre défait des éléments chercha à se rétablir lors du raz de marée du sixième fléau. C’est pour cette raison qu’à la suite de la catastrophe ces mages furent méfiés et injuriés. La magie noire fut déclarée comme un art interdit et on oublia ces savoirs dans les profondeurs obscures de l’histoire.

Mais de tout temps il y a toujours les assoiffés de connaissances et l’attrait du pouvoir les a guidé dans les abysses les plus sombres. Et il y environ cent ans, un occultiste du nom de Ququruka brisa les sceaux d’un ouvrage ancien avant de mettre sur ses épaules la robe noire d’une école oubliée…[1]

Nous savons peu de choses de la magie noire, elle est d'ailleurs inconnue de la majorité des disciples de la magie. La plupart des livres qui y font référence en parlent généralement comme d'un mythe. Son existence serait certainement restée secrète si cent ans auparavant, le maître Ququruka n'avait pas réussi à déchiffrer certains chapitres codés d'anciens grimoires du sanctuaire de Nald'thal. D'après ces textes, le terme “mage noir” désigne ceux ayant reçu la bénédiction de Nald'thal, et dont le devoir est de fermer les portes du néant grâce à leur art.[4]

Il y a des siècles de cela, il y avait un grand nombre de mages noirs. L'un d'entre eux était particulièrement puissant, mais lui savait à quel point la magie noire était dangereuse. Il craignait qu'elle ne soit utilisée à des fins maléfiques. Il décida donc de protéger ses secrets au moyen de sorts pour ne les révéler qu'à ceux qu'il estimait dignes de les apprendre. Pour faire bonne mesure, les écrits qui y faisaient référence ont été cachés un peu partout en Éorzéa. De nos jours, beaucoup ont été détruits par l'érosion ou perdus. [5]



La magie noire, sa réputation et la loi

La magie noire était interdite[6] [7][8]depuis la catastrophe du sixième fléau. Cette discipline n'est la plupart du temps que fabulation, mais lorsque des mages dissidents aux convictions dangereuses sont percés à jour, certaines autorités Eoréennes, comme les padjals par exemple, envoient des émissaires pour les arrêter.[6][8]

Tu pardonneras donc à l'élémentaliste que je suis de vous rappeler que l'utilisation de la magie noire est interdite de nos jourrrs.

Zhai'a Nelhah[7]


Les mages noirs en tirent une mauvaise réputation. Leurs actions sont souvent déformées, tues (lorsqu'elles sont bénéfiques), on les moque, les injure, ou bien on les bannis de leur village.[9][8][10]

Aucune institution n'accepte de conserver les mémoires des magie noire de Lalai pendant une longue période et ses actions n'ont jamais été vue d'un très bon oeil de la part de l'ordre de Nald'thal. Là bas, tous les écrits qui se rapportent à la magie noire sont immédiatement confisqués et mis sous scellés. Cependant, certains membres restent favorables au fait de garder une trace écrite des expériences de la magie noire et de faire office de garde fou. C'est pourquoi un cercle d'étude a vu le jour de manière officielle récemment au sein de l'ordre de Nald'thal, dirigé par Cocobuki.[11]

Tout d'abord, j'aimerais que nous soyons au clair sur un point: oui, la magie noire est dangereuse; et je ne prétends pas qu'il faille l'enseigner au plus grand nombre. Lalai[11]

Equipement

L’équipement d’un mage noir est considéré comme un arsenal arcanique complet à part entière. Chaque pièce est utile pour apporter la destruction. Les schémas complexes au dos du vêtement augmentent la puissance des sortilèges tandis que les ornements sur le devant, loin d’êtres des babioles puisent dans l’éther environnant pour le plier à la volonté du mage noir.

Le chapeau à large bords souvent associé aux mages noirs est en fait hérédité de l’époque de Mhach où il servait à protéger la vision des mages du regard maudits que pouvaient avoir de nombreuses créatures du néant. Le danger d’être pris d'hystérie au contact de ces regards était si grand que certains chapeaux de mages étaient équipés d’un tissu supplémentaire pour masquer un œil complètement. Il est important de noter que cette protection n’est utile qu’en présence de créature du néant. Les mages noirs d'antan tels que Shatotto n’auraient pas porté de tels chapeaux.[12]


Atours du sorcier

Resplendissante après deux mille ans, cette tenue de la cinquième ère astrale est fabriquée en mithril tissé en hexagonal. Une telle innovation donne à cet attirail aux allures innocentes un avantage certain dans l’invocation des créatures du néant.[1]


Sceptre étoilé

Un sceptre fabriqué durant la cinquième ère astrale par Shatotto, une magicienne à la sombre renommée.

Fabriqué à partir de reste de météore déviée de sa course par la magie destructrice, le sceptre étoilé jouit de la plus grande considération de la part des gens de la pire espèce. La Servante de la Mort était un des surnoms de Shatotto et malgré les ravages causés par le temps, sa relique est à la hauteur de sa sombre réputation.[1]


Equipements Goétique

L'équipement goétique était porté à l’origine par les mages de Mhach de haut rang qui étaient particulièrement talentueux pour soumettre les créatures du néant. Alors qu’il paraît simple en le regardant de loin, une inspection plus détaillée permettra de distinguer un schéma arcanique subtile sur l’habit, runes et symboles tissés avec du fil trempé dans le sang de démon sous pacte. On dit de ces schémas qu’ils amplifieraient la puissance du porteur, élevant le potentiel destructeur de ses sorts à un niveau véritablement catastrophique. L’authenticité d’un véritable habit face à une des nombreuses imitations de marchands, souhaitant copier le génie des reliques de Mhach ,est assez évidente vu les propriétés de puissances que donne le vêtement original. [1]


Sceptre Lunaris

Un aventurier intrépide a probablement obtenu cette arme arcanique dans les marais de Yafaem sur ordre d’un collectionneur avide d'équipements occultes. Le bâton est surmonté d’un croissant de lune creusé dans la corne d’un être du néant dont tout le potentiel magique est concentré par les deux gemmes en un point vibrant d'énergie

Bien qu’il n’y ait pas de marque d’artisan permettant d’identifier précisément ses origines, le style de fabrication de l’arme est sans aucun doute celui de Mhach.[1]

Equipement des sept enfers


Pétase des sept enfers

La forme particulière de ce chapeau est en réalité faite pour puiser dans l'éther ambient. En plus de fournir une protection face aux regards des entités du néant, le cache-oeil de tissu réduit la distraction des alentours pour améliorer la concentration pendant l’incantation.[12]


Gants des sept enfers

Ces gants sont améliorés par des gros saphirs qui augmentent la vitesse d’incantation en convoyant directement l’ether vers le bâton du mage. Les petites gemmes sur les anneaux de chaque gants, un ruby à gauche et une émeraude à droite possèdent également des propriétés magiques mineures mais utiles.[12]


manteau des sept enfers

Tout comme la pétase, les manches et manchettes de ce manteaux sont spécialement taillées pour augmenter la magie du porteur. Les gemmes insérées dans divers ornements sur la poitrine et la taille aident dans la manipulation de l'éther qui circule autour du corps[12]


Le cristal du mage noir

Cet objet enchanté permet aux mages noirs d'utiliser des sorts puissants sans que l'art ancien ne les dévore. Si ceux-là n'avaient pas ces pierres, ils ont peut-être laissé leur propre éther se consumer. Ça expliquerait pourquoi ces chacals des cités ont l'air d'avoir brûlé de l'intérieur.” Dozol Meloc, [13]


Cette gemme est une légende, dont seules quelques anciennes fables font mention. Par contre, je n'avais jamais entendu dire qu'elle était obtenue en tuant des monstres, encore moins des insectes qui se repaissent d'excréments. Quelle idée farfelue.” Yayake[14]


Sortilèges



météore

En rassemblant une vaste quantité d'éther depuis ses alliés, le mage relâche une gigantesque masse d’énergie cristallisée au-dessus de la tête de ses ennemis. Les témoins de cette magie destructrice sans égale la comparent à une étoile enflammée venue des cieux pour s’écraser sur terre.[15]


Mur de mana

Cette barrière arcanique est la manifestation de la volonté inflexible du mage. Toute les forces aux intentions de blesser l’incantateur sont alors dénuées de leur inertie par le mur de mana, réduisant grandement leur impact.[15]

brasier

Shatotto, la mère de la magie noire a conçu ce sortilège dans sa recherche de pouvoirs destructeurs. Mélangeant son propre éther avec celui de l’environnement, l’incantateur déclenche une explosion d’une force monumentale.[15]


Malalignement

Le lanceur utilise cette technique pour connecter naturellement des lignes d’énergie et ainsi créer un cercle de puissance. En se tenant à l'intérieur de ce cercle, la circulation de l'éther du mage est accélérée, lui permettant de lancer des sorts avec une vitesse accrue.[15]


Mages noirs connus

  • Shatotto Shato, mère de la magie noire

  • Cessair, Femme Hyur de la cinquième ère astrale ayant élévé la magie noire et la sorcellerie à un autre niveau en trouvant un moyen d’utiliser les entité du néant[16]

  • Ququruka Tataruka

  • Lalai Lai

  • Kazagg Chah, Amalj'aa, héritiers des mages noirs d'antan

  • Dozol Meloc, Ixal, héritiers des mages noirs d'antan

  • Da Za, Kobold clerc du 269e ordre héritiers des mages noirs d'antan

Note annexe

Ether ambiant

Le monde est imprégné d’éther, lorsque l’environnement est complètement vidée de cette énergie, il n’a plus la capacité de donner la vie. Pour la plupart des arts arcaniques, la réserve de mana du mage suffit à alimenter même les plus puissantes incantations, mais certains sortilèges redoutables de magie noire puisent profondément dans l’énergie vitale du monde.[15]


Les ouvrages de Nald’thal

Ces deux volumes occultes ont été retranscrits par le mage noir Ququrka Tataruka. Écrits dans un code obscure et contenant les connaissances glanées de l’art interdit, Ququrka aurait couché ses secrets de magie noire par écrit en attente d’un successeur digne de ce nom.[15]


Néant et magie noire

Le néant est attiré par la magie noire comme un insecte par le feu. Il tente de s'y fondre pour se mêler à son pouvoir et le corrompre. Le lien entre les portes du néant et la magie noire est indissoluble [...]. Dozol Meloc [17]


Sources

  1. ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 et 1,6 EE I - p 232

  2. ↑ Discussion avec Lalai - Ul'dah

  3. ↑ Quête BLM lvl 63 - Golems Gone wild

  4. ↑ Lalai - Quête BLM lvl 40 - International Relations

  5. ↑ Dozol Meloc - Quête BLM lvl 45 - The Voidgate Breathes Gloomy

  6. ↑ Revenir plus haut en :6,0 et 6,1 Zhai'a Nelhah, élémentaliste, quête blm 52 - An Unexpected Journey

  7. ↑ Revenir plus haut en :7,0 et 7,1 Quête BLM lvl 60 - The Defiant Ones

  8. ↑ Revenir plus haut en :8,0 8,1 et 8,2 Zhai'a Nelhah, quête BLM 63 - Golems Gone Wild

  9. ↑ Quête BLM lvl 70 - One golem to rule them all

  10. ↑ Quête BLM 40 - 45 au sujet de Dozol Meloc, Kazagg Chah et Da Za et de leurs ancêtres

  11. ↑ Revenir plus haut en :11,0 et 11,1 Quête BLM lvl 80 - A Home for a Tome

  12. ↑ Revenir plus haut en :12,0 12,1 12,2 et 12,3 EE II - p 231

  13. ↑ quête BLM 56 - Black Squawk Down

  14. ↑ Taking the back, quête BLM lvl 30

  15. ↑ Revenir plus haut en :15,0 15,1 15,2 15,3 15,4 et 15,5 EE I - p 233

  16. ↑ EE I - p 203

  17. ↑ Quête BLM lvl 45 - The Voidgate Breathes Gloomy


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