Les épées à une main :

Les épées à une main sont en général relativement légères, de 2 à 5 kg environ. Elles ne dépassent pas 1m20 de longueur pour les plus grandes et ne nécessitent donc pas une force extraordinaire pour les manipuler. Cependant pour les plus lourdes d'entre elles, un minimum de force est requis si on veut éviter de se luxer l'épaule au bout de 2 minutes de combat ... Elles sont donc accessibles à tous pour le peu de s'entrainer un peu chaque semaine, même si bien entendu, pour devenir un grand bretteur, il faut s'entrainer intensivement tous les jours, comme dans tous les domaines ...

• Les épées batardes : ce sont des armes plutôt longues et lourdes, avec une garde permettant de les utiliser à une ou deux mains. La garde est très peu protégée (à la différence des sabres européens par exemple), la lame est droite et à double tranchant. Cette arme peut à la fois servir pour un coup d'estoc, ou pour découper façon barbare avec le tranchant. On peut aussi s'en servir pour parer ou dévier des coups, c'est une arme très solide.

• Les cimeterres : ce sont des lames courbes, avec un tranchant unique. En général la garde est petite, ne laissant place que pour une main et relativement bien protectrice. La lame est extrêmement tranchante, mais s'émousse rapidemment sans entretien. L'arme est solide en général, bien que plus fragile à partir du dernier tiers à l 'extrémité de la lame. Il arrive parfois que les lames soient gravées afin de faire couler du poison le long de la lame.

• Les spathes : ce sont des épées larges et courtes, relativement peu tranchantes mais extrêmement solides. Elles servent plus à frapper qu'autre chose, et permettent une bonne vitesse de mouvement du fait de leur taille.

• Les épées gobelines : ce sont des armes proches des glaives romains au niveau du poids et de la longeur, seule la garde diffère, elle est plus protectrice que sur un glaive. Ces lames sont légères et tranchantes, mais relativement peu solide à moins qu'elles soient dans un alliage spécial.

• Les sabres : on parle ici de sabre européen, pas de katana. Ce sont des lames courbes et tranchantes, avec une garde protégeant très bien la main de l'utilisateur. Bien que plus solides que des sabres japonais, les sabres européens ont tout de même tendance à se briser facilement dès lors qu'on s'en sert pour parer des coups d'une arme plus lourde.

• Les fauchons : ce sont des lames à double tranchant, de longeur de poids similaire à une épée batarde. Les fauchons ont une petite pointe à l'arrière, permettant d'utiliser le dos de la lame différement d'avec une lame classique.

• Les flamebergues : ce sont des épées d'une forme spéciale, la lame est ondulée un peu au dessus de la garde (et parfois reste ondulée jusqu'à la pointe de l'épée). Ces épées sont faites pour faire le plus de dégats possibles en embrochant la cible, mais elles sont également idéales pour parer les coups, et font des dégâts raisonnables avec un coup "classique".

• Les espafuts : ce sont des épées longues classiques, avec une partie de la garde rétractable, permettant de les transporter plus facilement. Du genre plutôt solide et lourde, une fois la garde déployée elles ressemblent aux épées européennes médiévales tout ce qu'il y a de plus classique.

• Les épées longues : ce sont des lames à double tranchant tout ce qu'il y a de plus classique pour une épée européenne.

• Les épées larges et katzbalger : ces lames sont très larges et lourdes. Leur tranchant est peu affuté et elles servent plus à écraser, repousser et broyer la cible qu'autre chose. La lame n'est pas pointue au bout, elle forme en fait un rectangle.

• Les macuahuilt : plus proches de l'épée de bois ou d'une batte de baseball à clous, ces armes sont constituées d'un rectangle de bois très solide sertis de morceaux de métal le rendant contendant et légèrement tranchant parfois. Le maniement est, en Eorzéa, le même que celui d'une épée large.

• Les épées viking : fines lames à double tranchant, ces épées sont solides et légères, idéales pour les combats d'endurance et les frappes précises.