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hISTOIRE
Les mages d'Amdapor ont conçu cet art magique au cours de la Cinquième Ère Astrale pour faire face la magie noire des mages de Mhach. En se spécialisant sur les sorts de guérison et de purification, la pratique de la magie blanche a permis de grandes avancées dans la société amdaporienne. Cependant, obsédé par ce nouveau pouvoir en leur possession, ces mages cherchent à expérimenter toujours plus de choses pour leur ambition, pouvant parfois être particulièrement risqué. Ils créèrent des sorts toujours plus puissantes à utiliser dans leur conflit avec Mhach, une guerre connue sous le nom de la Guerre des Mages. Jusqu'au jour où le choc éthérique entre ces deux magies bouleverse l'équilibre même de la nature, provoquant le sixième fléau.
Les deux cités furent éteintes, et les magies qui avaient provoqué cette catastrophe furent désormais jugées dangereuses et interdites pendant plusieurs siècles. Les ruines de la cité d'Amdapor auront été englouties par la forêt, scellée par la Sylve afin de contenir tout ce qui pouvait rester à l'intérieur de ces deux civilisations - la ville déchue et ses secrets furent dissimulés par les élémentaires de la Forêt de Sombrelinceul, et il aura fallu attendre encore mille ans avant que l'art de la magie blanche ne revoit à nouveau le jour.
Cinq siècles plus tard, les élémentaires ont cédé, et ont enfin permis que l'héritage des mages d'Amdapor ne soit utilisé par quelques élus. Les Padjals, chefs vénérés de Gridania, ont depuis servi de gardiens de la magie blanche et supervisent son instruction.
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Ce sont les mages blancs ou les esprits eux-mêmes qui désignent ceux qui sont dignes d'avoir un cristal
Traditionnellement, seul les Padjals étaient autorisés de pratiquer cet art magique. Mais aujourd'hui, certains préceptes d'A-Towa-Cant, un Padjal aux idées révolutionnaires (la propagation du savoir et de l'ouverture vers le monde) tendent à être démocratisé, malgré un regard critique des traditionnalistes.
Les mages blancs
Pour devenir un mage blanc, seuls certains Padjals pratiquant la magie blanche, qui sont accord avec les préceptes d'A-Towa-Cant, ont la possibilité d'apprendre cette magie. Il n'a que certaines personnes, dotée d'une grande affinité et de connaissances des élémentaires, de l'élémentalisme et de la nature, sont capable de suivre l'enseignement de cette magie.
Un mage blanc confirmé saura trouver de nouvelles techniques en se dévouant à son art, avec l'aide de son cristal qui lui apportera de nouvelles connaissances. Son cristal d'âme vient d'ailleurs d'anciens mages blancs qui l'ont précédé, laissant sur leur passage une trace de leur mémoire, à ceux qui les succèdent.
En tant que mage blanc, cette magie est avant tout une discipline du calme et de la sérénité. Elle doit faire le bien, mais surtout pour ceux qui souffrent, afin d'apaiser les âmes en souffrance.
Les esprits de la Sylve sont les seules à pouvoir autoriser un mage blanc de pratiquer sa magie et de lui octroyer ses pouvoirs. Sans le consentement des esprits, il ne pourra pas utiliser la magie. Les mages blancs sont le lien entre les hommes et les esprits de Sylve, ils communiquent avec les esprits et peuvent entendre la forêt en permanence.
C'est une magie particulièrement puissante, permettant de soigner avec une grande efficacité, aussi bien que les hommes que la nature, pouvant tout aussi bien être une pratique complétement dévastatrice pour l'équilibre naturel du monde si elle est mal utilisée.
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Les mages blancs soignent tout aussi bien la nature que les humains
La magie blanche et l'élémentalisme ont une relation assez proche entre elles, les deux étant régies par des principes similaires. La première, cependant, accorde la plus grande importance à la guérison et à la préservation de la nature, et exige de ses pratiquants, une relation toute particulière avec les élémentaires. C'est pourquoi son utilisation n'est accordée qu'à ceux qui en sont dignes et au près d'un esprit saint.
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L'esprit d'A-Towa-Cant, un défunt mage blanc très respecté, revenant pour aider son successeur
Pendant très longtemps, les mages blancs ont considéré qu'ils ne devaient pas sortir de la forêt, et se concentrer sur l'écoute des esprits et l'entretien de la Sylve. Mais depuis quelques temps, ils prennent conscience que leurs responsabilités s'étendent bien au-delà de leur forêt, et que leur devoir est de protéger la nature d'Eorzéa et la planète. (cf. quêtes mage blanc 50-60)
Les mages blancs et la golemomancie
Avant que les mages d'Amdapor de la Cinquième Ère Astrale ne commencent à expérimenter certaines pratiques magiques pour donner vie à la matière inanimée. L'histoire du monde d'Hydaelyn a montré que la plupart de ces tentatives se sont soldées par des échecs, on peut retrouver des traces de créatures étranges, faites d'argiles et d'autres matières inorganiques, démontrant que certaines de ces civilisations étaient sur le point de réaliser cet exploit, qui n'a jamais été fait auparavant.
La golemomancie est une pratique qui permettait de donner vie à des êtres inanimés, grâce à l'utilisation de la magie blanche, dont la plupart de ses êtres animés, ont été conçu par des potiers d'Amdapor, elle était l'une des pratiques artisanales d'Amdapor, qui leur a permis de faire face aux assauts des démons des mages de Mhach
De nombreux mages d'Amdapor débutants qui apprenaient les subtilités de la golemomancie commencent leurs apprentissages en animant certaines de ses créatures inanimés, allant d'une création à petite échelle jusqu'à quelque chose de plus en plus grand et de plus en plus puissant.
leur Équipement
A première vue, il y a très peu de différences extérieures entre les armes brandies par les mages noirs et les mages blancs. En effet, les origines de ces dernières se trouvent dans les catalyseurs éthériques rudimentaires développés par les chamans de la Seconde Ère Astrale. Cependant les premiers mages ont vite réalisé que certains types de magie - principalement celles concernées par les soins et la purification de la corruption éthérique - ne rentraient pas très bien en résonnance avec les babioles élémentaires fortement aspectée et fixées comme des nœuds locaux aux bâtons et aux gourdins. Contrairement à la magie noire, qui puise dans les flux d'éther qui coulent tout autour de nous, la magie blanche est engendrée par une connexion entre l'éther interne du mage et l'environnement qui l'entoure, donc les objets en accord avec la nature sont souvent mieux adaptés pour exploiter ce pouvoir. Ils ont été reconnus pour stimuler la conductivité de l'éther, ce qui permet d'améliorer la puissance de guérison. A tel point, en fait, que ces objets sont très rarement altérés ou modifiés par rapport à leur forme originale.
La tradition de porter des robes d'un blanc pur rehaussées de rouge, est née avec les mages blancs d'Amdapor, ce qui la rend presque aussi ancienne que la magie blanche elle-même. Déjà à l'époque, le blanc était un symbole de pureté, tandis que le rouge, rappelant le sang, était associé à la vitalité de la vie. Ensemble, ses deux couleurs étaient censées représenter le devoir d'un mage blanc : purifier et guérir. Les amdaporiens prenaient cela au sérieux : seuls ceux qui avaient suivi un entraînement intensif, dont les capacités avaient été reconnues par le Conseil des mages d'Amdapor et qui avaient reçu officiellement un cristal d'âme étaient autorisés à porter ses couleurs.
Bien que ce style conserve la longueur d'une robe traditionnelle, une utilisation aussi importante d'ornements en mythril est assez rare pour une tenue de mage blanc. La distinction marquée entre les versions masculine et féminine est également particulièrement inhabituelle.
Si les mages blancs amdapors portaient souvent des capuches complètes, les ornements de cheveux métalliques et les diadèmes étaient également très répandus au sein de cette discipline.
Leurs bottes robustes et bien ajustées ont été conçues pour les batailles, leur permettant de se précipiter sans encombre là où on a le plus besoin de lui.
Ceux qui s'aventurent dans la Sylve aujourd'hui constateront que plusieurs Padjals portent les couleurs des mages blancs d'Amdapor, les ayant adoptées après que les élémentaires aient remis en lumière les secrets longtemps perdus de la magie blanche.
Sources :
Lorebook I - Le Mage blanc (p.230-231)
Lorebook I - The Discovery of White Magic (p.30)
Lorebook I - Kuribu, Lion ailé, Idole de Mana, Pot de mana,... (p. 34, p.294)
Lorebook II - Les équipements du mage blanc (p.234)
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