Dans les premières années du Colisée d'Ul'dah, tous les combattants à mains nues ou à l'épée étaient unis, répondant d'un même entraînement dans la même école. Mais ceux qui se battaient avec leurs poings prirent finalement un chemin différent de ceux qui maniaient l’épée. Ce nouveau groupe de pugilistes était à égalité avec celui qui offrait un soutien à leurs camarades de combat. Ceci changea lorsque la légendaire combattante Cornelia prit la tête de cette association de combattants à mains nues. Les exploits de cette femme étaient si magistraux dans le sable de l’arène, qu’hommes et femmes venaient de tous les coins du continent pour apprendre d'elle. Avec le temps, l’organisation se dévoua elle-même à l’entraînement.
Cinquante ans plus tard, l’enseigne de ce groupe changea officiellement pour qu’on y lise « Guilde des Pugilistes ». En plus d’instruire de nouveaux talents, elle devint un point central pour ceux qui gagnent leur vie avec leurs poings.
Issus des traditions de combat à mains nues thanalanaises, les pugilistes se rassemblent à Ul'dah, où un vieux maître s'occupe de montrer aux jeunes comment se défendre avec leurs poings. Leurs techniques sont avant tout basées sur les coups de poings, avec quelques coups de pieds ( Plutôt rares, les coups de pied proviennent surtout de l'art monial. ). Il n'y pas d'archétype de pugiliste : ils peuvent être petits, grands, forts, agiles etc. Ils adaptent les techniques à leur corps, gardant tous deux points communs : la précision et la condition physique du pugiliste.
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Les pugilistes s'entraînent en face du QG des Immortels.
Le chemin du pugiliste est celui d'un entraînement incessant visant à maîtriser les techniques traditionnelles du combat au corps à corps. Bien qu'ils possèdent un pouvoir formidable lorsqu'ils ne sont pas armés, ils ont l'habitude d'utiliser des armes en métal, en cuir et en os pour maximiser leur potentiel destructeur.
Leur préférence pour les combats rapprochés fait de l'estimation des distances une nécessité absolue.
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Les pugilistes n'hésitent pas à frapper des mannequins aussi durs qu'ils soient : cela fait partie de l'entraînement.
Sources :
Lorebook I - La Guilde des pugilistes (p.140)
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