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Les Miqo'tes : solaires et lunaires



Sommaire:

I) Histoire II) Identité III) Clans IV) Langage

V) Tenue vestimentaire VI) Les Solaires VI.a) Attributs physiques

VI.b) Nomenclature: VI.C) Culture

VII) Les lunaires


Une race qui se distingue par leurs larges oreilles et leur queue féline. Pour des raisons inexpliquées, les femmes miqo’tes sont plus nombreux que les individus masculins, un phénomène unique parmi les peuples d’Eorzea.

I) Histoire:

Les miqo’tes sont les descendants d’un peuple de chasseur qui a traversé la mer gelée à la recherche de proie lors du cinqiuième fléau lorsque que la famine a frappé leur terre. Les tribus ont ensuite suivi la rivière de Velodyna vers le nord avant d’arriver dans la région aujourd’hui connue sous le nom de Gyr Abania. Lorsque les glaces ont fondu laissant place à la cinquieme ère Astrale, la majorité des tribus se sont réparties dans le royaume. Seuls les J et les M décidèrent de rester sur place. Oubliant leur ancien mode de vie, ils ont en majorité accepté leur status de race la moins peuplée d’Eorzea. Farouches defenseurs de leur territoires et fiers de leurs traditions, il serait dit que les miqo’tes sont inadaptés à la vie dans les cités états. Cependant, en tant que chasseurs-nés dont la vie est celle du nomade, de nombreux miqo’tes ont connu le succès en tant qu’aventuriers.



II) Identité:

Un trait commun parmi les miqo’tes est leur fierté farouche de leur héritage de chasseurs. Se considérant comme faisant partie du monde naturel, ils apprécient par-dessus tout la liberté de la chasse et ne fuient pas la mort quand la vieillesse et l'infirmité les privent des talents physiques nécessaires pour poursuivre leur proie.

Pour les Miqo'tes, le mode de vie des autres races - leur habitude de se rassembler, à envahir la nature pour construire des villes, à rechercher la sécurité et la stabilité dans les lois et les alliances - peut sembler curieux.

Dotés d’un odorat développé, de jambes musclées et d’un escellent sens de l’equilibre, les miqo’tes ont une morphologie adaptée à leur activité de chasse. Extremment territoriaux, nombre d’entre eux préfèrent la vie en solitaire, seuls et à l’écart. Cette tendance est particulièrement forte chez les hommes.


Le ronronnement chez les miqo’tes:

Malgré certaines occurences en jeu, en anglais et en français, il est difficile de savoir si les miqo’tes ronronnent de manière naturelle ou si c’est pour jouer la comédie. Malgré un roulement de R chez de nombreux individus, les exemples que nous avons de ronronnement sont toujours ponctués d'ambiguïté.

ex:

C’rhabye: “Heehee, the guildmaster has more than his fair share of lovers, that’s no secret. They say he only employs women he means to bed. Purrr, heehee!”
Shamani Lohmani: ... “Si j'ai reçu la visite d'une Miqo'te dernièrement ? Oui, en effet, j'ai parlé à une femme qui ronronnait comme un chat. Je me souviens bien d'elle, car son parfum était très particulier.” (épopée)
“Y’mhitra ronronne comme si elle avait une bonne nouvelle à vous annoncer”. (quête SMN 45)
H’fudzol: “Welcome, dear. Come to see to the furnishing of your basement, hmm? Purrrrrr… Come, look all you like. And feel free to touch the merrrchandise.”
Miah Molkot: “Sounsyy, is it? What business do you have with meow? Apologies—a slip of the tongue. When I say “with meow,” I mean “with meow”… Grrr. Not meow—meow! …Bah! What do you want!?”

III) Clans:

Les miqo’tes sont à peu près divisés en deux clans: Les miqo’tes solaires diurnes et les miqo’tes lunaires nocturnes. Les premiers chassant sous la lumieure du jour tandis que les seconds rôdent la nuit et on pense que ces habitudes éloignées sont dues à des différences physiques uniques entre eux. De plus, il existe de nombreuses tribus dans chaque clan, chacune avec leur propre culture et méthode de chasse. Il est difficile de dire que tout les miqo’te d’un même clan partagent les même croyances.


IV) Langage:

Malgré leur nature solitaire; les miqo’tes ont rapidement adopté la langue commune, par nécésité ce faire des échanges avec d’autres races pour se procurer des matériaux avec lequels ils fabriquaient leurs outils de chasse et leurs armes. Des restes de l’ancienne langue peuvent être observés dans le “langage de chasse” distinctif des miqo’te, un système de claquements de langue et de sifflements utilisé pour communiquer pendant cette activité.


V) Tenue vestimentaire:

Les miqo’tes agiles privilégient la liberté de mouvement par dessus tout, évitant ainsi les armures encombrantes qui pourraient restreindre leur amplitude de mouvement. Les jambières miqo’tes sont évidemment percées d’un trou par lequel passe la queue, ce qui leur permet de conserver leur sens de l’equilibre infaillible.




VI) Solaires:

Le culte de l’astre prévaut dans la societé et la culture de ces miqo’tes au mode de vie diurne. Il va sans dire que nombre d’entre eux vénèrent Azeyma, la Déesse du soleil. Leur population est clairsemée en Eorzéa, mais on les trouve en plus grand nombre à Limsa Lominsa, où ils ont appris à vivre avec les autres races. Certains clans se sont aussi installés dans les terres reculées, notamment le désert de Sagolii. (création de perso)


Leur population totale n’est pas très grande, et leur vingt-six tribus sont dispersées dans les quatres coins du royaume, avec de petites colonies que l’on peut trouver au désert de Sagolii ou encore dans certains pics de Gyr Abania. D’autres, en revanche se sont établis à Limsa Lominsa, attirés par la liberté de la vie de pirate. Beaucoup de Solaire, en particulier ceux des nouvelles générations ont choisi de vivre en tant qu’aventurier, peut être en entendant un appel de la nature similaire à celui que leurs ancêtres ont perçu autrefois.

Les individus de cette tribu se surnomment les “messagers du soleil”.



VI.a) Attributs physiques:

A peu près une tête plus petite que le hyur moyen, les solaires sont dotés d’une force musculaire, une agilité hors du commun et une endurance pour courir des heures durant sous le soleil - une collection d’attributs qui en fait une race très adaptée pour la chasse en climat aride. Comme beaucoup de Solaires sont friand de l’escalade et de plongée, il font également d’excellent marins. Un de leurs traits les plus marquant est leur pair d’yeux, au centre desquels se trouve une pupille verticale et des iris peu colorés



VI.b) Nomenclature:

“La plupart des hommes ont des noms simples composés d'une ou deux syllabes. Les "h" supplémentaires que l'on retrouve dans "Bhee", "Kuzh" ou "Pahsh" représentent le léger son sifflant/crachotant de la prononciation féline des Miqo'tes. Rares sont les races d'Éorzéa capables de reproduire ce son avec précision ; les "h" sont donc souvent non prononcés.”


Le prénom est toujours précédé d'une lettre avec apostrophe qui représente leur tribu. Lors de l'exode massif qui eut lieu lors de la grande glaciation de la 5e ère ombrale, vingt-six tribus du Soleil traversèrent les océans alors gelés et gagnèrent Éorzéa à la recherche de nourriture et de climats plus hospitaliers. Les noms de ces tribus contenaient de nombreux sons difficiles à représenter à l'aide de l'alphabet éorzéen existant, mais le fait qu'il existait autant de tribus que de lettres dans l'alphabet éorzéen fut vu comme un signe qu'ils devaient s'installer dans cette nouvelle contrée. Chaque tribu reçut donc une lettre ou un son proche de son nom. Peu à peu, la prononciation se rapprocha de celle de la lettre éorzéenne pour s'éloigner de celle du mot d'origine.

Chaque tribu désigne un animal sauvage comme son totem. Les noms des tribus étaient au départ basés sur ces totems traditionnels (bêtes, reptiles ou ailés) qui étaient censés protéger la tribu.


Liste des totems miqo'te et de leurs prononciations :

A : Antilope (prononcé "a")

B : Sanglier ("bi")

C : Coeurl ("ka")

D : Dodo ("dé")

E : Triton ("è")

F : Ours ("fe")

G : Hippogriffe ("gue")

H : Crapaud géant ("ha" aspiré)

I : Buffle ("i")

J : Chacal ("dja")

K : Hipparion ("kou")

L : Vipère ("li")

M : Marmotte ("mé")

N : Bouquetin ("ne")

O : Taupe ("o")

P : Basilic ("pé")

Q : Puk ("ki")

R : Raptor ("re")

S : Zu ("se")

T : Condor ("te")

U : Draconide ("ou")

V : Vautour ("va")

W : Loup ("wa")

X : Lynx ("ch")

Y : Jaguar ("ya")

Z : Ziz ("dzo")


Dans le langage courant entre amis et proches, on omet souvent la lettre de la tribu :

F'lhammin → Lhammin


Les hommes n'ont pas de "noms de famille" en tant que tels, car ils sont considérés comme point d'origine d'une nouvelle famille. À la place, ils portent un titre relatif à leur tribu ainsi qu'à leur position dans cette tribu. Pour un homme de la Tribu du Soleil, il n'existe que deux positions sociales : les reproducteurs, qui possèdent un territoire et sont voués à engendrer une descendance (dits "nunh", prononcé "noune"), et les indépendants, sans territoire (dits "tia"). Tous les hommes naissent tia. Lorsqu'il le souhaite, un tia peut défier un nunh au combat. S'il remporte la victoire, le tia prend la place du nunh comme reproducteur (jusqu'à ce qu'il soit à son tour défié et vaincu), et le nunh redevient un tia (s'il survit au défi). Ce processus garantit un meilleur brassage génétique pour les générations suivantes. Selon sa taille, une tribu peut avoir plusieurs nunhs si le territoire est suffisamment large ; il y a environ un nunh pour dix à cinquante femmes en moyenne.


Il n'y a qu'un seul autre moyen pour un tia de devenir nunh : quitter sa tribu, s'approprier un territoire et créer une nouvelle tribu. Ceci, bien évidemment, nécessite plusieurs femmes et, malheureusement, elles sont plutôt rares au sein de la Tribu du Soleil à être impressionnées par un homme incapable de vaincre un nunh.


Ca ne veut pas dire que quitter la tribu pour en fonder une autre n’arrive jamais. Si un homme quitte sa tribu pour en former une nouvelle, il remplace la lettre original (G pour G’raha par exemple) par une autre. Comme les 26 lettes de l’alphabet sont déjà prises, le nouveau prefixe peut être de deux lettres (Ma -> Ma’shtola).


Il existe également des tia des 26 tribus qui, à la place de defier leur nunh, prouvent leur valeur en étendant les territoires de chasse. Ces tia s’aventurent en dehors de leurs terres d’origine jusqu’à faire qu’un nouveau territoire devienne le leur (Soit en en trouvant un libre, soit en prenant de force une zone occupée par une autre tribu). S’ils peuvent maintenir ce terrain, ils en deviennet alors le nunh tout en restant un membre de leur tribu d’origine.

Ce cas apparait régulièrement. Et c’est bien plus accepté que de simplement quitter sa tribu et en faire une nouvelle. C’est pour cette raison qu’on ne croise presque jamais de Solaire avec plusieurs lettres tribales (Comme Ma’Shtola mentionnée plus tôt). Ils ne sont vraiment pas nombreux à l’avoir fait et l’admettent rarement par peur d’ostracisme.


Outre les prononciations spéciales des tribus ci-dessus, les noms se lisent à peu près comme ils s'écrivent. Bien qu'il soit suivi d'une apostrophe, on fait la liaison et le son de la tribu se marie naturellement avec le nom sans marquer de pause.


G'raha se prononce donc "gRAha" (accent tonique sur le son "ra") et non "G-raha".

Quelques exemples de noms masculins sur le modèle "nom de tribu + nom personnel + statut" :

- O'raha Tia

- O'bhen Tia

- U'odh Nunh

- K'tyaka Nunh


Pour les femmes:

Comme pour les hommes, le prénom d'une femme de la Tribu du Soleil commence toujours par la lettre représentant sa tribu, suivie d'une apostrophe, puis son nom personnel. Son nom de famille est le nom personnel du reproducteur qui l'a engendrée.


Exemple :

R'Sushmo Rhiki : "Sushmo de la tribu R (dont le totem est le frelon), fille de R'rhiki Nunh (reproducteur de la tribu)".


La règle sur l'apostrophe s'applique également ici : celle-ci lie les éléments entre eux sans pause. Le prénom Y'shtola se prononce donc "yashtola" et non "ya-shtola". H'amneko se prononce "hamneko" avec un "ha" aspiré.

Quelques exemples de noms féminins :

- N'bolata Raha

- A'zumyn Bhen

- H'amneko Odh

- J'nangho Tyaka




VI.c) Culture:

Les solaires ont une culture très patriarcale, chaque tribu est centrée autour du mal reproducteur (le nunh) dont le rôle est de former un harem et de guider son peuple vers la gloire et la prospérité. D’autres informations tendent cependant à dire qu’n nunh n'est pas forcément le chef de la tribu et en réalité peu de nunhs sont appelés à être un jour chefs. Ce leadership n’est pas consistent dans les textes de lore et en jeu malheureusement. (cf. EE I p 087 - Nomenclature et le post sur la convention de nommage qui se contredisent).

Quelques larges communautés possèdent plusieurs Nunh, cependant ces cas restent rares.

Avant d’être des leader, les Nunh sont les pères de leur peuple. (M’rahz Nunh).


Les U:

  • Nunh: U'odh Nunh

  • Vivent dans le desert de Sagolii

  • Respectent la force avant tout (Arenvald)

  • On dit que les armes de la tribu des U se transmettent de génération en génération et que ces armes sont vénérées autant que les enseignement de leurs ancêtres. (Fibubb Gah)

  • Olgoi-Khorkhoi, c'est le nom d'une créature non identifiée qui vit dans les sables du désert de Sagolii. Elle est tellement monstrueuse que les chasseresses de la tribu de U préfèrent taire son nom de peur que cela leur porte malheur.

Les M:

  • Nunhs: M’rahz Nunh / M’Aht Nunh (Qui a abandonné sa place de second nunh lors de l’invasion de l’empire. Il est mort après avoir quitté le village, pétrifié.)

  • Se situent en Gyr Abania, les Marges. Leur village est perché au sommet d’une falaise. Sa position donne une vue dominante sur leur territoire pour ne manquer aucun intru ou aucune proie. Comme les Garlemaldais méprisent les cultures de chasseurs, les temps ont été difficile pour eux durant la domination de l’empire dans la region.

  • Les M ont joué un rôle primordial dans la liberation d’Ala Mhigo. Survivre jusqu’à aujourd’hui leur a été difficile et leur a demandé de nombreux sacrifices de la part de leur membre. (EE II p 113). Lors du joug imperial et afin de limiter le nombre de bouches à nourir, les M ont décidé de se debarasser de leur deuxième Nunh temporairement avant de se joindre à la résistance d’Ala Mhigo.

  • Les hommes sont peu nombreux. Les seuls qui restent sont là pour defier le Nunh.(M’Zalikko)

Les J:

  • Nunh: tué pendant l’occupation garlemaldaise par un soldat de l’Empire.

  • Se situent en Gyr Abania, les Pics, Ala Ghiri

  • Ont vécu sous l’occupation garlemaldaise tout comme les M.

Les W:

  • W’naja (ALC 30 femme de Severain), W’bulea (Ul’dah rue de la perle), W’sondidi (Labyrinthos, forge de Kokkol), W'dhovaka (middle La Noscea)


VII) Lunaires:


Ces miqo’tes ont une préférence marquée pour la vie nocturne. Beaucoup d’entre eux vénèrent Menphina, la Déesse de la lune. Ils ont longtemps vécu de la chasse dans la forêt de Sombrelinceul, un mode de vie à l’origine de longs conflits avec les Gridaniens, qui les considéraient comme des braconiers. Leurs relations se sont améliorées ces dernières années, et certains d’entre eux se sont même installés dans la cité forestière. [1]

Ces chasseurs suivent aujourd'hui les règles de la guilde des tanneurs en ramenant des fourrures et des viandes qu’ils ajoutent aux produits agricoles et de première nécessité.

Cependant, certains refusent de suivre ces règles, braconnant les bois et détruisant l’environnement comme bon leur semble. [5]


Localisation |

Sombrelinceul[5]


Attributs physique |

A l’exception de leur queue plus longue, les Lunaires sont pratiquement identiques à leurs cousins Solaires en termes de carrure. Ils se distinguent par leur fourrure sombre comme le brouillard de la nuit et les larges pupilles de leurs yeux. Bien qu’ils n’aient pas l’endurance d’un Solaire, les Lunaires compensent par leur force de volonté et leur instinct infaillible. Avec une telle intuition, les chasseurs Lunaire sont reconnus pour repérer leurs proies dissimulées dans l’obscurité de la nuit.[5]


Convention de nommage[6]: |

Femmes |

Contrairement à la Tribu du Soleil, la Tribu de la Lune est une société fortement matriarcale où les noms de famille sont transmis par la mère et non le père. On raconte que certains de ces noms de famille remonteraient même à la 1re ère astrale, avant même les premières traces d'Histoire écrite.

Les membres de la Tribu de la Lune mènent une vie plus solitaire et forment rarement des communautés de plus de deux ou trois familles ; leur sentiment d'appartenance à un même peuple est bien plus faible. Aussi, leurs noms ne comportent pas de lettre de tribu.

La structure matriarcale se retrouve également dans les prénoms des femmes. Courts, ils se composent d'une à deux syllabes, rappelant les noms utilisés par les hommes de la Tribu du Soleil. Ces noms sont en effet censés symboliser la puissance de la mère. On y retrouve également un grand nombre "h" muets, comme dans la plupart des noms miqo'tes.

Quelques exemples sur le modèle "nom personnel + nom de la mère" :

  • Okhi Nbolo

  • Cemi Jinjahl

  • Gota Jaab

  • Sizha Epocan


Hommes |

On retrouve encore davantage l'importance de la mère dans les noms donnés aux hommes de la Tribu de la Lune. En plus de prendre le nom de famille de leur mère, ceux-ci prennent également son prénom, complété d'un suffixe séparé par une apostrophe pour indiquer leur ordre de naissance entre un et dix. Dans la pratique, les naissances d'hommes étant peu nombreuses, il est presque impossible de voir une famille arriver jusqu'à dix garçons, mais ces noms sont tout de même transmis par esprit de tradition.

Ainsi, le nom personnel seul ne permet pas toujours de deviner le sexe d'un membre de la Tribu de la lune.

Liste des suffixes masculins correspondant à l'ordre de naissance

  • Fils aîné : a

  • Deuxième fils : to

  • Troisième fils : li

  • Quatrième fils : sae (prononcé "sé")

  • Cinquième fils : ra

  • Sixième fils : ir

  • Septième fils : wo

  • Huitième fils : ya

  • Neuvième fils : zi

  • Dixième fils : tan

Quelques exemples de noms sur le modèle "nom de la mère + particule de fratrie + nom de famille de la mère" :

  • Okhi'a Nbolo

  • Cemi'to Jinjahl

  • Gota'li Jaab

  • Sizha'sae Epocan


Culture |

En opposition avec la tribu du Soleil et leurs male dominant et les harems, l’unité fondamentale de la société de la tribu de la lune est la famille, centrée autour d’une figure maternelle forte et de ses enfants. Les Lunaires sont connus pour former de petites communautés composées de deux ou trois familles qui chassent ensemble. Ils sont aussi réputés pour la peinture de guerre sur leur visage avant de partir chasser, une tradition dont la symbolique est la volonté et la détermination de se salir les mains avec du sang ainsi que d’envoyer un message à leurs dieux qu’ils sont prêts à leur servir de guerriers dans l'au-delà s’il venait à mourir.[5]

Ces peintures sont généralement faites à partir des baies rouges non comestibles d'une plante nommée “plaie du soldat”.[7]

Régime alimentaire |

  • Miqo-brochette de viande: de la viande de dodo et des tomates, embrochées et rôties. Un plat traditionnel de la Tribu de la Lune.[8]

  • Miqo-brochette forestière: Cette brochette de champignons grillés est un plat traditionnel de la Tribu de la Lune[9]


Sources: |

  1. Revenir plus haut en :1,0 et 1,1 outil de création de personnage

  2. Miqo-brochette de thon - Description de l'item en jeu

  3. Saumon meunière - Description de l'item en jeu

  4. Mandat de récolte - Collecte: le colorant naturel

  5. Miqo-brochette de viande - description de l'item en jeu

  6. Miqo-brochette forestière - description de l'item en jeu

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