Lalafells: peuples des Plaines et peuple des Dunes (race)
De stature trapue, les Lalafells sont de loin la plus petite race d’Eorzea. De leur naissance jusqu’à la fin de leur vie, les Lalafells conservent une apparence juvénile. Aussi, il est souvent difficile pour les autres races de déterminer l’âge réel d’un Lalafell.[1]
Ce petit peuple d’agriculteurs est originaire des îles méridionales. Aux yeux des représentants des autres races, ils ressemblent à des enfants, mais cette allure est trompeuse. A mesure que les liens commerciaux avec Eorzea se sont renforcés, les Lalafells s’y sont établis. Bien qu'ils valorisent les liens familiaux, ils ne sont en aucun cas communautaristes et entretiennent des rapports amicaux avec toutes les ethnies.[2][3]
Taille |
Taille 86,9cm -> 97,0cm[2]
Histoire |
Peuple cultivateur à l’origine, les Lalafells originaire des îles méridionales ont progressivement migré vers Eorzea au fil des ans à la recherche d’échanges commerciaux. Au cours de la cinquième Ere Astrale, ils ont joué un rôle clef dans la fondation de Nym sur Vylbrand et Mhach dans les basses-terres de Yafaem. Lorsque les deux civilisations se sont effondrées durant le sixième fléau, les Lalafells ont été forcés de trouver un nouveau foyer. Les Lalafells de Nym retournèrent dans les îles méridionales tandis que les survivants de Mhach vagabondèrent au travers des terres avant de s’installer finalement dans le Thanalan.[1]
Ethnies |
Les Lalafells sont principalement composés de deux ethnies: les habitants des prairies, les Lalafells des plaines, et les habitants du désert, les Lalafells des Dunes, toutes deuxoriginaires des îles méridionales. Bien que de légères différences d’apparence physique soient apparues au cours des générations passées à vivre chacune de leur côté, les deux ethnies n'éprouvent aucune animosité l’une envers l’autre et les relations inter-ethniques sont monnaie courante. De nombreux Lalafells possèdent aujourd’hui du sang des Dune et des Plaines.[1]
Identité |
Alors qu’ils placent une grande importance dans les liens familiaux, les Lalafells ne sont pas communautaristes. Ces relations se manifestent par les ententes cordiales qu’ils entretiennent avec les autres races et le succès qu’ils ont accomplis en tant que marchands. Même si leur esprit singulier est affuté pour le commerce et qu’on peut percevoir cette race comme cupide et manipulatrice, peu peuvent dire qu’ils détestent complètement les Lalafells à cause de leur nature joviale et rayonnante. Ainsi, les exemples de Lalafells persécutés par les autres races sont rares.
Tenue vestimentaire |
L’écharpe est un élément distinctif de la tenue traditionnelle Lalafelle. Elle peut aussi être déployée dans des cas pratiques comme pour servir de drapeau sur les mers ou dans les déserts, leur permettant d’être vus au delà de leur petite taille. Les Lalafells sont également connus pour préférer les vêtements amples et décontractés qui dissimulent leurs rondeurs naturelles.[1]
Langue |
En résultante de leur statut de race marchande, les Lalafells ont été, sans surprise, parmi les premiers à adopter la langue commune des Hyurs. Cependant, on dit que l’ancienne langue Lalafelle est toujours parlée aujourd’hui sur leurs îles d’origines au sud.
Peuple des plaines |
En grand nombre sur les îles de Vylbrand, les Lalafells des plaines sont à l'origine des marchands marins qui se sont installés à Limsa Lominsa pour échanger des marchandises pillées ou saccagées. Dans les années suivantes, ces Lalafells ont été rejoints par leurs familles devenant ainsi des pionniers de la région de la Noscea. Tandis que leurs descendants sont principalement des fermiers aujourd’hui, certains se sont tournés dans le transport maritime et la pêche durant les années où les conflits avec les Kobolds bloquent l’exploration du continent. Aujourd’hui, les Lalafells des plaines représentent une part importante de la population Limséenne et sont connus pour leur mode de vie détendu et confortable.[1] Ils sont souvent considérés comme des optimistes qui vivent à leur propre rythme.[2]
Répartition: |
La Noscea (Limsa Lominsa), les îles des mers du sud.[1]
Attributs physique |
Avoisinant les 35ilms de haut en moyenne, les Lalafells sont de loin la race la plus petite d’Eorzea. Ils compensent leur manque en force physique par la rapidité de leurs réflexes et leur vivacité d’esprit. Sous estimer a couté cher pour plus d’un homme.
Les cheveux de couleur de la terre ou de l'herbe sont assez fréquent chez les Lalafells des plaines. Des théories douteuses prétendent que ces teintes sont apparues dans l’évolution pour un meilleur camouflage contre les redoutables vautours qui rodent dans le ciel de leur île natale.[1]
Nomenclature |
Les noms des membres du Peuple des Plaines et du Peuple des Dunes suivent des règles de rythme, de répétition et de rimes, ainsi que d'allitérations. Le nombre de syllabes joue également un rôle important. Il y a quatre séries de règles qui sont généralement suivies à la lettre. Une fois ces règles maîtrisées, on peut facilement discerner l'ethnie ou le sexe des Lalafells rien qu'à leur nom. On raconte que l'ancienne langue lalafelle, parlée par les ethnies avant leur arrivée en Éorzéa, était étroitement liée à la poésie lyrique et au chant, d'où cette rythmique dans les noms.
La langue ancienne lalafelle ne possédait au départ que cinq voyelles distinctes : a, è, i, o et u (prononcé "ou"). Ces restrictions dans l'écriture et les sons distinguent clairement les noms lalafells des noms d'autres races.
Les noms de famille ne sont pas des patronymes transmis par la lignée familiale, mais des prénoms choisis arbitrairement lors du passage à l'âge adulte, et qui sont uniques à chaque individu.
Hommes |
1. La structure typique des éléments est AB - CB
2. Les éléments A et C ne riment pas forcément.
3. Les éléments A, B et C sont généralement limités à une ou deux syllabes.
Quelques exemples de noms masculins :
- Zorido Manarido
- Kopel Yorpel
- Alka Zolka
- Waguda Mabaguda
Le saviez-vous ? Au quotidien, les hommes du Peuple des Plaines utiliseront toujours leur nom complet et rarement le premier ou le second élément seul.
Femmes |
1. La structure typique des éléments est ABB - AB.
2. Les éléments A et B font toujours une syllabe et sont généralement composés d'une seule consonne couplée à une seule voyelle, ou simplement d'une voyelle.
Quelques exemples de noms féminins :
- Mimomo Mimo
- Tokiki Toki
- Ulala Ula
- Honmeme Honme[4]
Culture |
Sur leurs îles natales au sud, les Lalafell des Plaines vivaient en tant que fermiers dans des maisons au toit de chaume connectées par des réseaux souterrains inspirés des fourmilières.
Leurs compétences en jardinage et horticulture était sans égales et c’est à ce titre qu’ils ont su briller en tant que pionniers dans l’exploration de terres inconnues.
Tirant parti de leur petit corps léger, ils ont parcouru des distances remarquables dans de simples barques, développant ainsi leur propre méthode de navigation qu’ils utilisent encore aujourd’hui avec succès en tant que pêcheurs et commerçants maritimes.[1]
Peuple des Dunes |
Ces Lalafells se sont majoritairement installés dans des régions désertiques, particulièrement celle du Thanalan. Ils sont les fondateurs de la cité d’Ul’dah, et leur amour du commerce est célèbre dans tout Eorzéa. Leur tendance à mettre immédiatement leurs idées en pratique leur permet souvent de saisir les meilleures opportunités.[2]
Les Lalafells de ce clan vivent essentiellement dans les régions sablonneuses du Thanalan et les terres arides. Fondateurs de la Cité marchande d'Ul'dah, ils sont réputés pour leur obsession pour le commerce. Ils se distinguent par leur capacité à passer rapidement de la théorie à la pratique, et c'est sans conteste cette inclination qui leur permet de faire prospérer leurs affaires.[3]
Les fils de la cité perdue de Mhach se réfugièrent pendant un temps dans les terres lointaines avant de s’aventurer dans le Thanalan dans des caravanes montées sur le dos de grandes bêtes de somme. Le nom de leur tribu leur vient de la vie de nomade dans les étendues sablonneuses datant de cette époque.
Ce sont eux qui ont fondé la civilisation de Belah’dia, qui s’est séparée plus tard en Sil’dih et Ul’dah. De nature pragmatique et prompts à mettre leurs idées en pratique, ils possèdent un tempérament qui leur permet de saisir des opportunités commerciales et il n’est guère surprenant qu’ils aient joué un si grand rôle dans la construction d’Ul’dah, centre d’échange et de commerce animé aujourd’hui.[1]
Localisation |
Thanalan (Ul’dah)[1]
Attributs physiques |
L'adaptation des lalafells à leur environnement se traduit notamment par une peau mate capable de résister aux rayons du soleil qui frappe le Thanalan. Leurs yeux sont clairs comme du verre dont leurs pupilles sont recouvertes d’une fine membrane qui les protège du sable.
Nombre d’entre eux sont dotés d’une aptitude à la magie et le peuple des Dunes compte beaucoup d’occultistes accomplis ainsi que des membres de haut rang dans le clergé de l’Ordre de Nald’thal.
Les mineurs du peuple des Dune rivalisent avec les Roegadyns en nombre et en accomplissements, compensant leur manque de force brute par leur ingéniosité et leur capacité à s’enfoncer dans les galeries les plus étroites.[1]
Nomenclature |
Les noms des membres du Peuple des Plaines et du Peuple des Dunes suivent des règles de rythme, de répétition et de rimes, ainsi que d'allitérations. Le nombre de syllabes joue également un rôle important. Il y a quatre séries de règles qui sont généralement suivies à la lettre. Une fois ces règles maîtrisées, on peut facilement discerner l'ethnie ou le sexe des Lalafells rien qu'à leur nom. On raconte que l'ancienne langue lalafelle, parlée par les ethnies avant leur arrivée en Éorzéa, était étroitement liée à la poésie lyrique et au chant, d'où cette rythmique dans les noms.
La langue ancienne lalafelle ne possédait au départ que cinq voyelles distinctes : a, è, i, o et u (prononcé "ou"). Ces restrictions dans l'écriture et les sons distinguent clairement les noms lalafells des noms d'autres races.
Les noms de famille ne sont pas des patronymes transmis par la lignée familiale, mais des prénoms choisis arbitrairement lors du passage à l'âge adulte, et qui sont uniques à chaque individu.
Hommes |
1. La structure typique des éléments est AAB - CCB.
2. Les éléments A et C font une syllabe et l'élément B, deux.
3. Les éléments A et C ne riment pas forcément.
4. Les syllabes sont le plus souvent une consonne couplée à une voyelle, ou une voyelle seule.
Quelques exemples de noms masculins :
- Jajariku Nanariku (rime de A et C)
- Momomena Lolomena (rime de A et C)
- Nunulupa Tatalupa (pas de rime)
- Fafajoni Kukujoni (pas de rime)
Dans certains cas plus rares, le phonème B comporte une lettre supplémentaire comme dans Zozonan ou Nanalai. Le "n" et le "i" étaient en fait autrefois couplés à une voyelle de langue lalafelle ancienne qui a disparu depuis. Ils sont donc muets dans leur nom.
Femmes |
1. La structure typique des éléments est AAB - AB.
2. Les éléments A et B font une syllabe (avec l'élément A qui se répète toujours dans le prénom).
3. Les syllabes sont le plus souvent une consonne couplée à une voyelle, ou une voyelle seule.
Quelques exemples de noms féminins :
- Jajano Jano
- Kokobi Kobi
- Yayamo Yamo
- Chuchumu Chumu
Le saviez-vous ? Les membres des familles royales d'Ul'dah et de Sil'dih portent également les noms de leur sultanat respectif comme deuxième prénom.
Exemples :
- Nanamo Ul Namo
- Lalawefu Sil Tatawefu[4]
Culture |
Si beaucoup connaissent la coutume des Lalafells des Dunes qui consiste à attacher une petite orbe sur leur front en guise de symbole de leur divinité tutélaire, il est moins connu que cette pratique remonte à leurs ancêtres de Mhach et sert à les honorer.
Une des autres pratiques propre aux Lalafells des Dunes est qu’ils donnent à leurs enfants des tasses de thé infusées avec de minuscules portions de venin de serpent et de scorpion. Ainsi, les Lalafells élevés dans des foyers traditionnels possèdent souvent une résistance remarquable à certains poisons.[1]
Queue de rat: |
La fine queue d'un rat, utilisée comme talisman protecteur pour les jeunes Lalafells du Peuple des Dunes. Appât pour la pêche en mer.
Halatali: |
À l'origine, le labyrinthe sinueux de grottes naturelles qui s'étend sous ce grand plateau était un lieu sacré pour les premiers Lalafells arrivés en Éorzéa, que la Fondation du Colisée d'Ul'dah a transformé en lieu d'entraînement pour ses protégés. Ses fosses d'entraînement, enclos de bêtes et cellules de détention ont été laissées à l'abandon dans la confusion qui a suivi le septième fléau. Les créatures qui se trouvaient encore dans les fosses ont été laissées mortes, sans nourriture. Mais la réouverture de l'endroit cinq ans plus tard a réservé une surprise de taille: loin d'être déserts, les lieux sont hantés par des bêtes féroces ayant visiblement survécu, ainsi que par les esprits de ceux qui y ont perdu la vie.[5]
Signifie: ‘terre des ombres” dans l’ancienne langue Lalafell. Les érudits pensent que les fondateurs de Belah’dia s’étaient installés ici temporairement, à la recherche d’un abri contre le soleil brulant du Thanalan.[6]
Divers: |
Noix de coco: |
Fruit d'une variété de palmier appelé le cocotier. Dans les îles méridionales, les autochtones ont pour coutume de catapulter des Lalafells sur la cime des arbres afin de déloger ces noix de coco.
Popoto géante |
Une popoto absolument gigantesque. L'aliment idéal pour faire grandir les Lalafells.
Lentilles aux châtaignes |
Un ragoût de lentilles lalafelles et de châtaignes mijotées dans du vin.
Mandat: Traque: sauvetage de Lalafells: |
Il a été prouvé que les peistes préféraient la viande de Lalafell à celle des quatre autres races. Les opinions divergent quant à la raison de cette préférence, mais la plupart considèrent que la forme rondelette des Lalafells les rend plus faciles à avaler. Étant donné que la majorité de la population d'Ul'dah est constituée de Lalafells, les collines du Thanalan représentent un lieu de choix pour les gigantesques reptiles. C'est pour cette raison que les lames de cuivre cherchent sans cesse des aventuriers capables de tuer ces créatures avant qu'elles ne fassent davantage de victimes.
Poisson: Liopleurodon végétarien |
Un liopleurodon de mer légendaire que l'on dit être le maître des eaux du Couvercle des enfers. D'après la tradition orale des pêcheurs, ce poisson se nourrissait jadis exclusivement de Namazu, mais il aurait un beau jour tenté de croquer un roi lalafell dodu qui profitait innocemment d'un bain en petite tenue. Mais l'ambitieux poisson n'ouvrit pas sa mâchoire assez grand, et la couronne du roi lui blessa la lèvre supérieure. Cinq mille ans plus tard, l'espèce a évolué au point que ses descendants peuvent désormais ouvrir leur gueule assez grand pour engloutir un Lalafell d'une bouchée. Véridique ou non, cette anecdote est de l'avis général beaucoup, beaucoup trop longue.
Branche de figuier parasol: |
Une plante décorative originaire des îles méridionales. Elle tire son nom des clans lalafells qui l'utilisaient pour se protéger du soleil.
Chocobo destrier |
Les grandes compagnies se fournissent auprès des meilleurs haras ishgardais pour obtenir leurs montures. Les roussins sont destinés aux soldats de taille moyenne, les robustes destriers aux Roegadyns, et les petits genets belahdiens aux Lalafells.
Alea: Défi: maudit crapaud maudit |
Avant le Fléau, les lames de cuivre recevaient sans cesse des rapports concernant un crapaud maudit géant errant dans le désert et gobant de pauvres Lalafells. Ces anciennes rumeurs concernant cette horrible créature ont resurgi. Enquêtez et exterminez ce monstre!
Alea: Pour la reine: |
Les fourmis sentinelles géantes sont en effervescence. Elles cherchent sûrement des enfants lalafells pour les ramener à leur reine. Tuez ces insectes avant qu'il ne soit trop tard!
Alea: les vils requins |
Quand les requins volants sont toujours affamés même après avoir dévoré tous les poissons à l'horizon, ils se tournent vers les terres où ils chassent tout ce qui leur tombe sous la dent, des oiseaux aux tigres... en passant par les Lalafells! Renvoyez le banc de squales d'où il est venu.
Poignée de lentilles lalafelles |
Des pois de petite taille protégés par une cosse arrondie