La mer de Rubis est la frontière naturelle entre Othard et Hingashi. C'est une zone assez grande, constituée de petits ilôts, dont certains sont volcaniques, et controlée par les Pirates de la Confédération. Ils assurent la protection des personnes souhaitant traverser contre rémunération (qu'on appelle le droit de Rubis). C'est également le lieu de résidence des Kojins verts et rouges, certaines îles ayant étant des symboles très importants pour leur culture. On y trouve aussi des villes sous-marines.
L'Entorse
L'entorse à longtemps été un lieu tabou pour les populations locales. En effet, toute l’île est considérée comme un lieu sacré par la présence du Pilier des cieux. Une mystérieuse tour que l'ont dit avoir été érigée par les kami. Ces superstitions étaient loin d'effrayer les pirates de la Confédération qui en ont fait leur quartier général pendant une période de guerre civiles. Ce lieu de rassemblement pirate possède quelques point d'observations ailleurs dans la mer de Rubis. Ces derniers lui permettent de surveiller l'activité maritime, de contrôler de droit de Rubis, ou encore de prévenir de potentielles attaques.
Tamamizu
Tamamizu est le lieu de résidence des Kojins de la tribu des Verts. C'est un village sous-marin, auquel on peut accéder par le biais d'une grotte ou en entrant dans la bulle d'air qui englobe le village en plongeant dans la mer de rubis. Tamamizu est à l'Ouest de l'île de Bekko, et à l'Est de Sui-no-Sato.
C'est un lieu très paisible, et assez méconnu. On y trouve quelques marchands Kojins, une éthérite et un hôtel aux trésors (récent, voir la page sur Kojins). Il y a également sur place un élevage de raies rayés, poissons pouvant vivre à la fois dans la bulle d'air du village et dans l'eau, que chevauchent les Kojins pour se déplacer plus vite.
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Des Kojins priant devant l'hôtel au trésor de Tamamizu.
Sui-no-Sato
Sui-No-Sato est un petit village situé dans les profondeurs de la mer de rubis. Peu d'informations sont données à son sujet, cependant, les quetes données par les Sui (habitants du village) nous donnent quelques idées sur le mode de vie bien particulier de ce peuple sous-marin.
Un peu d'histoire... Les Sui sont une ethnie d'Ao Ra descendant directement de celle des Raen. Il y a bien longtemps, les ravages de la guerre ont forcé cette ethnie à quitter sa terre natale et à trouver refuge sous la mer. Ils se sont alors établis à Sui-no-Sato et une nouvelle civilisation est née. Des relations courtoises existaient avec les nations de l'exterieur, maintenues à leur strict minimum. Cependant, il y a vingt-cinq ans, lorsque Doma est tombée entre les mains de l'empire, la princesse a décidé de rompre tout lien avec les peuples étrangers à Sui-no-Sato afin de protéger les habitants. Le village semble être contre toute idéologie de la guerre. Il est dirigé par un chef et guide spirituel, représenté par la Princesse de Rubis, qui
loge dans la Palais aux Marées violettes.
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Le Palais Aux Marées Violettes...
Le Palais aux marées violettes se trouve au fond de la fosse turquoise, au sud-ouest du village. Rares sont ceux qui sont autorisés à entrer dans le Palais aux Marées violettes, à tel point que la plupart des habitants n'ont jamais eu le plaisir d'admirer le visage de la princesse. Et le protocole veut également que la princesse ne quitte jamais le palais. Pour accéder au palais, il semble nécessaire de posséder un Warifu. C'est une moitié d'amulette qui permet de rentrer à l’intérieur du palais.
Les habitants...
Les villageois du village sont des Raen à la peau pale et les yeux clairs. Nous ne pouvons distinguer que les prénoms des habitants du village, les noms de famille sont peut-être reservés à la noblesse qui réside au palais. Les habitants de Sui-no-Sato ne communiquent pas avec le monde exterieur, mais il leur arrive d'avoir de très rares échanges avec les Kojin de la tribu des Verts. Les gens de là bas ont tendance à éviter de parler trop franchement pour ne pas froisser leurs interlocuteurs. Vous connaissez maintenant Sui-no-Sato pour son aspect anti-conflit/guerre. Cependant il existe des hommes armés au village. Hormis les pécheurs, une villageoise évoque des chasseurs de monstres marins qui pourraient déranger la douce vie des habitants. Mais Sui-No-Sato n'a pas de corps militaire. Malgré la vie paisible du village, la situation semble difficile pour les enfants et les plus jeune de Sui-no-Sato. Ils sont tenus de vivre dans un éspace confiné et il n'est pas rare que des disputes éclatent pour un oui ou pour un non. les enfants de Sui-no-Sato passaient leurs journées à jouer à la marelle, tandis que les plus téméraires arrivent parfois à faire une excursion à l'extérieur au nez et à la barbe des adultes
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Les Traditions...
• La nourriture. Les habitants de Sui-no-Sato ne mangent que des produits de la mer. Ils achètent des produits aux marchands Kojin ou alors ils pèchent et récoltent des algues. Ils sembleraient que les habitants considèrent la peche comme une activité favorisant ce havre de paix, contrairement à la chasse qu'on pourrait avoir en surface. La tribu des Sui consomme beaucoup d'algues et coquillages, en particulier les yumemi qui semble être un met de choix. Cependant cette dernière ressource reste rare car les gasame de source chaude en sont friands et le laissent rien sur leur passage.
Pour ce qui est de l'eau, les plus costaud du village s'occupent de récuperer des coeurs d'esprit de l'eau qui sont ensuite filtrés au village.
• Enlever les Awahaki. Les Awahaki sont des algues qui se développent autour de Sui-no-Sato. C'est une recette pour être heureux. Enfin c'est surtout car les Kojins sont bien contents qu'on les retire et offrent des cadeaux en retour. En effet, ces algues produisent des bulles qui effraient les raie rayées, monture utilisée par les kojins pour voyager ou transporter des marchandises.
• L’intérêt pour les coraux. On raconte que les coraux rouges ont le pouvoir de protéger et de soigner les femmes. Il semblerait que ce soit une tradition au village d'offrir des bijoux de corail aux femmes.
Sources :
Les quêtes de la ville de la zone de la Mer de Rubis : ici. "La Blessure du seigneur"