L’empire de Garlemald occupe presque trois quart des trois grands continents, Aldenard étant la seule région encore intègre face au joug impérial.
Jusqu’à il y a une cinquantaine d’années, Garlemald était une république lointaine et peu peuplée qui ne possédait pas plus qu’une fraction des territoires au nord d’Ilsabard. Mais l’arrivée de l'âge d’or de la technologie et l’émergence d’un jeune légatus, Garlemald est venu à régner sur presque tout Hydaelyn en l’espace d’une seule génération. [1]
Résumé |
Drapeau |
L’emblème présent sur le drapeau Garlemaldais est un design abstrait de chaîne. Il symbolise la valeur de ses fils et ses filles: une unité solide malgré leur petit nombre. Dans un tel design, le lien pourpre au centre représente tout ceux qui ont péris au nom de l’Empire de Garlemald[1]
Devise |
Nos sumus manus, Nos sumus deus
(Nous somme la Main, Nous somme Dieu)[1]
Gouvernement |
Garlemald était une république jusqu’à ce que Solus Galvus rassembla tout Ilsabard sous son joug et s’autoproclama Empereur, gagnant ainsi le titre “zos”. Ainsi est né l’Empire, un puissant régime pour gouverner les nouveaux territoires Garlemaldais.
Le Sénat existe toujours et donne des conseil à l’Empereur, cependant son pouvoir n’est plus que l’ombre de ce qu’il était autrefois face à l’armée de Garlemald.[1]
Leader |
Varis Zos Galvus[1]
Corps dirigeant |
Le gouvernement principal de Garlemald est une large administration, dirigée par des magistrats selectionnés personnellement par l’Empereur.[1]
Distribution Raciale |
Garlemaldais: 70%
Autre: 30%
Note: Ces chiffres ne représentent que la capitale de Garlemald et seulement les habitants ayant la nationalité totale. Si tous les sujets étaient inclus, le pourcentage de Garlemaldais pur sang serait diminué de manière significative.[1]
Religion |
L’Empire a banni la religion, la voyant comme une pratique barbare qui résultent bien trop souvent en l’invocation de primordiaux. Nombre des habitants de Garlemald sont athées, un fait imputable à leur incapacité physique et spirituelle à manipuler l'éther. Comme les théologiens pensent que la religion peut seulement se développer en parallèle à la magie, la question ne se pose pas quant au fait que les Garlemaldais soient peu enclins à avoir la foi.[1]
Industrie |
Fabrication Magitek: L’invention du moteur de Ceruleum a propulsé Garlemald vers l'âge d’or. Cette révolution magitek a fait aussi bien progresser la société Garlemaldaise que son industrie et a permis à la nation de produire en nombre grâce aux machines.
Aéronautique: Garlemald a appris la capacité à voler il y a longtemps en capturant un gaz plus léger que l’air, produit par la combustion de ceruleum, dans des ballons de tissu. Cependant, ces véhicules étaient à la merci des vents glaciaux et des tempêtes de neige dans les cieux du nord d’Ilsabard. Le véritable vol est arrivé avec l’invention du moteur à propulsion au Ceruleum et des ailes traitées à l’éther, ce qui a mené à l’invention des aéronefs modernes. Aujourd’hui, l’Empire produit ces engins en masse, que ce soit pour des usages commerciaux, personnels ou bien pour l’armée.
Textile: En utilisant une résine visqueuse obtenue pendant la purification du Ceruleum, Garlemald a appris à fabriquer des fibres de carbone très résistantes, une avancée révolutionnaire dans l’industrie du textile.[1]
Croyance |
Suite à l’invention de la technologie magitek, Garlemald tient l’efficacité en haute estime et les financements de l’empire ont marqué la naissance d’une hiérarchie sociale stricte. L’avancement est devenu une mesure du mérite individuel et ceux qui aspirent à gravir les échelons poussent Garlemald vers le progrès. Cependant, il existe également une tendance à mépriser les peuples des territoires annéxés ce qui a souvent été la cause de bien des discordes.[1]
Régime alimentaire |
Le froid de l'hiver Garlemaldais est mordant et la période d’agriculture est courte. La nourriture qu’on peut conserver est donc une nécessité. Les plats simples et copieux sont courants comme les ragoûts de viande et de poisson séchés, salés ou même fourrés. Ces dernières années cependant, Garlemald a pu profiter des récoltes des provinces annexées pour garnir ses tables d’aliments divers.[1]
Histoire |
Portrait d’un peuple |
Pour comprendre l’histoire de Garlemald, il est important de comprendre le caractère des personnes de son peuple. Connus pour avoir un corps solide, le trait le plus caractéristique d’un garlemaldais est son troisième œil situé au centre de son front. Cet organe oculaire ressemble à une perle et accorde aux pure-sangs une reconnaissance spatiale supérieure. Les Garlemaldais possèdent une faible capacité innée à manipuler l'éther de leur corps et il leur est impossible de pratiquer les arcanes à l’exception de peu d’entre eux. Les Garlemaldais ont donc été longtemps désavantagés face aux autres peuples maniant la magie.
Ce déséquilibre de force a contribué à des conflits territoriaux en Ilsabard. Par le passé, les Garlemaldais ont été exclus des terres plus chaudes situées au sud de la chaîne de montagnes centrale qui divise le continent. Après avoir franchi les pics montagneux, ils n’ont pas eu le choix que de s’installer dans les tristes étendues septentrionales.[2]
L’or bleu |
Les hivers sur le nouveau territoire des garlemaldais étaient durs. Les mers du nord étaient gelées la quasi-totalité de l’année et leurs ressources n’étaient disponibles que pendant une courte période de temps.De la même manière, l’agriculture et l’élevage n'étaient possibles qu’à des moments précis. En d'autres mots, ce territoire ne pouvait pas accueillir une large population. Les Garlemaldais se multipliaient doucement et avec le temps ils furent forcés d’accepter le fait de vivre en petit nombre.
Il n’y avait qu’un avantage à ces terres glaciales, sa grande quantité de gisement de ceruleum. Le liquide d’un bleu profond brûlait aussi bien que l’huile et gardait les cœurs au chaud pendant les longues périodes sombres de l’année. En effet, sans cette ressource naturelle, les Garlemaldais n'auraient pas survécu à la sévérité de l’hiver. Mais il faudra encore un long moment avant que les Garlemaldais réalisent l’utilité du ceruleum.[2]
La jeune république |
Le peuple de garlemald ne s’est regroupé qu’en 922 de la sixième ère astrale. Il existait beaucoup de petit villages avant ça, mais aucun ne s’est réellement développé à cause des attaques occasionnelless lancées par des tribus du nord d’Ilsabard plus établies. Pour sortir de cette piteuse existence, une ville s’est appellée le centree et les autres ont dû suivre le pli après des négociations ou par la force. Cette République Garlemaldaise n’avait qu’un but: unifier son peuple pour se défendre contre les agressions étrangeres.
La survie n’était pas une tache facile. Dans le desespoir, les Garlemaldais ont commencé à recruter des mages Roegadyn des montagnes centrales pour grossir leurs rangs là où l’armée était la plus faible. Ils ont également provoqué des guerres depuis les ombres en envoyant des espions pour inciter des conflits entre les nations voisines. Pendant des siècles, Garlemald s’est imposée en utilisant toutes les tactiques à disposition.
Mais au début du 16ème siecle, l’aube d’un nouvel âge rayonnait sur la nation. En 1513, un homme au nom de Solus Galvus atteint le rang de Legatus. Le Garlemaldais de 24 ans a appris les moteurs de ceruleum nouvellement inventés et y a décelé un grand potentiel. Il a été la main qui a guidé le développement de l’armement magitek et il est l’esprit derrière les tactiques employées pour ces machines de guerre. Galvus a aussi vu l'intégration de ces machines au sein de l’armée et a ainsi permis à l’industrie militaire d’obtenir une puissance mécanique.[2]
Unifier le Nord |
Les innovation de Galvus étaient d’abord vu d’un oeil sceptique. Mais comme les nations voisines capitulaient face aux machines de Garlemald, le peuple compris la sagesse de la décision du Garlemaldais. Comme si c’était pour se venger de tout le mal qu’on lui avait fait, Garlemald a envahi les pays du nord d’Ilsabard et a annexé leurs terres. Pour grossir son armée, Garlemald recrutait les peuples conquis en leur promettant une vie meilleure grace à la technologie magitek en échange de leurs services. Cette carotte a rendu la république plus grande et plus forte après chaque victoire.
Comme le triomphe apportait triomphe, le respect des Garlemaldais pour Galvus grandit jusqu’à devenir une sorte de vénération. En 1517, il obtint le contrôle de Garlemald en tant que dictateur, accordé par une écrasante majorité de la population. La même année, la république attaque Nhalmasque, un petit pays niché dans les montaigne centrale et l’armée déferla le feu de leurs nouveaux aéronefs. En 1522, cette campagne fut gagnée. Après avoir unifié le continent par la force pour la première fois dans l’histoire, Galvus s’autoproclama Empereur et ainsi naquit l’Empire de Garlemald.[2]
-- (à completer)
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